Uneoeuvre: ”L'observatoire de la lumière”. L’été se fait attendre et vous avez des envies de lumière ? On vous emmène en promenade au coeur du Bois de Boulogne, pour découvrir la nouvelle oeuvre in situ de Daniel Buren. L’artiste contemporain a recouvert de filtres multicolores les 3600 verres qui composent les douzes voiles du
Expédié sous 7 jours Livraison à partir de 0,01€ dès 35€ d'achats Pour une livraison en France métropolitaine QUANTITÉ Caractéristiques techniques PAPIER Éditeurs Beaux Arts éditions Collection Musée - Patrimoine Parution 02/06/2016 Format x Couverture Broché Poids 428g EAN13 9791020402608 Avantages Livraison à partir de 0,01 € en France métropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles Caractéristiques techniques Nos clients ont également acheté
Depuisle 11 mai 2016, la Fondation Louis Vuitton de Paris accueille une installation monumentale de Daniel Buren. L'observatoire de la lumière. —
En mai 2015, Daniel Buren était à la Havane pour la réalisation d’une œuvre in situ dans l’ancienne gare de Casablanca. Aujourd’hui, il est à la Martinique pour l’implantation d’un de ses travaux situés, un attrape- soleil aux quatre couleurs, dans le parc des sculptures de la Fondation Clément. Le jardin des sculptures imaginé il y a environ quatre ans, intégré au cœur d’un domaine de seize hectares, classé jardin remarquable, accueille une douzaine d’œuvres d’artistes internationaux, Bernar Venet, Jeppe Hein, Miguel Chevalier et d’artistes de Martinique, Christian Bertin, Luz Severino. Reflets dans l’attrape – soleil On connaît bien Daniel Buren pour son œuvre cohérente, inventive, surprenante, patiente. On connaît bien Daniel Buren pour ses coups d’éclat, expositions ou commandes publiques, qui sont des coups de maître. Le pavillon coupé, découpé, taillé, gravé 1986 de la Biennale de Venise qui a remporté le Lion d’or Les Deux Plateaux 1986 et la polémique que cela a entraînée Peinture-Sculpture 1971 au Guggenheim Museum Within and beyond the frame 1973 à Londres Points de vue ou le corridorscope 1983 au Musée d’art moderne de la ville de Paris BurenCAPC de BordeauxArguments Topiques Arguments topiques 1991 CAPC de Bordeaux Rayonnant 20006 2002 à Sérignan en France L’œil du cyclone au Guggenheim museum 2005 Monumenta 2012 L’observatoire de la lumière 2016 Fondation Vuitton BurenFondation Vuitton Et pour commencer, on connaît bien Daniel Buren pour son geste radical et inaugural au sein du groupe BMPT. En 1967, quatre jeunes plasticiens invitaient le public au Musée des arts décoratifs. Ce dernier se retrouvait face à quatre toiles, lune blanche et marquée au centre d’un cercle noir, la seconde rayée verticalement de bandes de 8,7 cm, la troisième marquée d’une série d’empreintes de pinceaux, la dernière emplie de bandes horizontales. C’était le lancement du groupe BMPT -pour Daniel Buren, Olivier Mosset, Michel Parmentier, Niele Toroni- . Leur manifeste Nous ne sommes pas peintres précisait leur ambition, atteindre le degré zéro de la peinture. Manifeste de BMPT En cette décennie soixante, c’est la fin de l’art moderne et l’avènement de l’art contemporain avec le déclin de la peinture et l’apparition de toutes ses nouvelles formes d’art ready made, installation, performance, conceptuel mais aussi ses caractéristiques si déstabilisantes pour le grand public diversification des matériaux, dilution des frontières entre les genres artistiques, dématérialisation, hybridation, éphémérisation, allographisation, expérience des limites, hypertrophie du discours. Daniel Buren pendant l’installation Daniel Buren est, aujourd’hui et depuis de nombreuses années, l’un des artistes les plus actifs et les plus reconnus de la scène internationale. Ses œuvres sont présentes dans les plus grandes institutions et les sites les plus divers du monde. On peut tenter d’appréhender son œuvre complexe à travers quelques notions ou définitions même si elles sont impuissantes à en traduire toutes les subtilités outil visuel, in situ, travaux situés, lumière, couleur. On reconnait ses œuvres entre mille à leurs bandes alternées de 8,7 centimètre, son outil visuel, auquel il est resté fidèle depuis 1966. Travaux en cours A l’aide de cet élément immuable, cet outil visuel, Buren révèle les spécificités d’un lieu et invite le spectateur à découvrir l’environnement d’un regard neuf. Ce module invariable réinterprète l’espace dans lequel il s’insère. La particularité de Daniel Buren, c’est le travail in situ. L’œuvre est créée pour le lieu d’exposition. Elle naît de l’espace dans lequel elle s’insère et dépend de cet espace comme le lieu fait partie intégrante de l’œuvre. Je travaille sur l’espace dit Buren qui n’a pas besoin d’atelier et qui va jusqu’à intégrer l’espace environnant du Centre Pompidou, ses cafés et jardins, lors de son exposition au Centre Pompidou, Le Musée qui n’existait pas 2002 TRavaux en cours Mais Daniel Buren aussi travaille sur la lumière, la couleur, la transparence avec du verre, du plexiglas, du papier vitrail. La lumière est l’un des matériaux plastiques de Buren. Si l’œuvre dépend du lieu d’intégration, elle se transforme aussi sous l’effet du climat, du soleil, des nuages qu’elle soit dans un espace fermé ou un espace extérieur. La couleur, au départ limitée aux coloris des tissus disponibles sur le marché a pris de plus en plus d’importance dans l’œuvre de Buren et le spectre coloré s’est considérablement élargi dès que l’artiste a pu faire fabriquer des matériaux, tissus ou papiers. Son agencement dans les dispositifs ne dépend pas du choix du plasticien mais naît du hasard et de l’aléatoire ordre alphabétique comme c’est le cas pour Monumenta, tirage au sort, ordre des couleurs de l’arc en ciel. Je n’utilise pas la couleur pour des effets esthétiques voulus, je ne lutilise pas non plus pour provoquer la joie, la folie ou le calme. En fait, je n’utilise jamais la couleur avec une fonction En attente de pose Parallèlement aux travaux in situ, c’est-à-dire conçus pour un lieu précis et en fonction de celui-ci, Buren réalise ce qu’il désigne par le terme travaux situés. Ce sont des créations qui, comme les cabanes éclatées ou les attrape- soleil aux quatre couleurs, peuvent être exposés dans différents endroits. La surface transparente recouverte de papiers vitrail joue avec la lumière, le soleil, les nuages et inonde l’espace de taches de lumière colorée. L’attrape couleur intègre quatre couleurs et est orientée en direction du sud pour capter le maximum de rayons solaires. Les alentours sont alors inondés de halos colorés J’essaie toujours de construire des dispositifs à la fois cohérents et précis mais qui laissent aux visiteurs le maximum de liberté quant à l’usage qu’il en fait. Reflets colorés en cours d’installation Le parc de sculpture de la Fondation Clément s’embellit donc d’une nouvelle œuvre, un attrape – soleil de Daniel Buren. Daniel Buren a fait le déplacement en compagnie de son galeriste Kamel Mennour, pour choisir l’emplacement et superviser la pose. Ce n’est pas son premier voyage. Installé à Sainte – Croix pour plusieurs mois au début de sa carrière, il avait déjà visité l’île. L’installation sera achevée d’ici demain et vous pourrez venir guetter les reflets colorés dans les pièces d’eau du parc. Dominique Brebion Attrape soleil aux quatre couleurs Installation in situ de Daniel Buren à la Biennale de La Havane In situ de Daniel Buren à Casa Blanca Photo D. Brebion Installation in situ de Daniel Buren à la Gare de Casablanca Photo DB In situ de Daniel Buren à Casa BlancaPhoto D Brebion In situ de Daniel Buren à Casa Blanca Photo D Brebion In situ de Daniel Buren à Casa Blancaphoto D Brebion In situ de Daniel Buren à Casa Blanca photo Installation in situ Galerie D. Brebion Dans les rues de La Havane . Biennale de Cuba 2015 In situ de Daniel Buren à Casa Blanca Photo D Brebion

Pourcet « Observatoire de la lumière », Daniel Buren a choisi du bleu trafic, du jaune or, du rose, du rouge foncé, du turquoise, du vert, de

La Fiac arrive à grands pas ! C'est l'heure de réviser vos classiques avec la chaîne Museum qui, tout au long du mois d'octobre, propose une programmation spéciale art contemporain. De quoi découvrir ou redécouvrir 10 artistes incontournables. Grayson Perry, le potier travesti de l’Essex » Brilliant Ideas Grayson Perry Rendez-vous le 2 octobre à 20h30 + d’infos Louise Bourgeois ou le festin de l’araignée Art 21 Identity Rendez-vous le 3 octobre à 21h + d’infos Le monde parfait de Jeff Koons My Little Museum Jeff Koons l’artiste gonflé Rendez-vous le 12 octobre à 20h20 + d’infos Yayoi Kusama, la princesse au petit pois Brilliant ideas Yayoi Kusama Rendez-vous le 17 octobre à 20h30 + d’infos Daniel Buren, l’art d’habiller l’espace Daniel Buren, L’Observatoire de la lumière, Fondation Louis Vuitton Soirée spéciale Daniel Buren le 19 octobre à partir de 21h + d’infos Jean-Michel Othoniel et la magie du verre Jean-Michel Othoniel, Le Trésor d’Angoulême» Rendez-vous le 22 octobre à 22h + d’infos William Kentridge, politique et poétique Brilliant ideas William Kentridge Rendez-vous le 25 octobre à 20h30 + d’infos Pierre Soulages, le maître de l’outrenoir L’art et la manière Pierre Soulages Soirée spéciale le 26 octobre à 21h + d’infos Anish Kapoor, sculpteur monumental Le Monde selon Anish Kapoor Rendez-vous le 28 octobre à 22h + d’infos Ai Weiwei, l’art en résistance Brilliant ideas Ai Wei Wei Rendez-vous le 31 octobre à 20h30 + d’infos
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