Ilne saurait donc y avoir un Dieu spirituel et invisible. 48 «C 'est la matière qui n 'existe pas. Seuls Dieu et les esprits existent» (Berkeley). Seuls Dieu et les esprits existent» (Berkeley).
• La contradiction apparente entre Kant et Hegel s'explique par le fait que Kant n'a jamais cru - bien qu'il aitemployé le mot cf. ses Prolégomènes à toute métaphysique future qui prétendra au nom de science - que laphilosophie puisse devenir une science ou un savoir absolu, et par là exclusif de toute croyance, alors que...• Hegel pense avoir réalisé ce savoir, en donnant à la pensée humaine la forme d'un système où il n'y a plus placepour aucune vérité particulière une telle vérité » y constituerait en effet - quelle qu'elle soit, croyance » ou science » au sens ordinaire - une simple opinion, une fois rapportée à la totalité du pensable. [La croyance n'est pas une connaissance objective. Elle trompe plus qu'elle ne rassure. La science apermis à l'homme de répondre à des questions essentielles. La croyance, quant à elle, n'a jamais atteint cet objectif.] La croyance est trompeuse La croyance autorise qu'on la contredise. Elle est donc fondamentalement incertaine. La certitude dessciences est de deux sortes soit elle découle d'observations empiriques, soit elle naît d'une nécessitédémonstrative dans les mathématiques. Or la croyance ne se fonde sur aucune de ces deux sources dusavoir les spectres, les dogmes de l'Église, la vie après la mort, ne sont objets ni d'observation ni dedémonstration. Il n'y a donc aucune raison objective d'adhérer à une croyance. La croyance estdouteuse elle ne répond à aucun des critères sur lesquels se fonde le savoir. À ceci s'ajoute que lescroyances se contredisent, sans qu'aucune ne puisse affirmer sa supériorité par des raisons claires la religionchrétienne décrète que les âmes seront damnées ou sauvées ; la religion hindouiste affirme la réincarnationdes âmes, etc. La croyance s'oppose à la connaissance La science repousse sans cesse les limites du connaissable. Tant que les hommes pensaient que la maladieétait l'oeuvre d'un démon entré dans le corps, ils sont restés impuissants face à elle. La médecine moderne,qui reconnaît pourtant ne pas tout savoir, n'a cessé de gagner en efficacité. La science, modeste etprudente, tient mieux ses promesses que la croyance aux miracles. Dès lors, il devient manifeste que lesavoir est appelé à exclure et à remplacer la croyance. En effet, si savoir et croyance prétendent tous lesdeux affirmer une vérité, seul le savoir possède des critères permettant d'établir solidement ce qu'il affirme. Lacroyance devient une vérité imparfaite, une tentative de savoir qui n'aboutit pas. On peut alorsconsidérer, avec Auguste Comte, que la croyance doit disparaître à mesure que s'affirme le savoir. Lacroyance se réduisant à un savoir raté, elle ne peut constituer qu'une étape sur le chemin d'un savoir qui,progressivement, s'affranchit de la superstition. Comte décrit ainsi le devenir de l'humanité selon troisétats théologique, métaphysique, et positif1. Chaque étape représente pour l'esprit humain un progrès sur lechemin de la connaissance, et la destruction d'obstacles liés à des croyances fétichisme, croyance auxêtres métaphysiques. Dans cette perspective, la croyance est l'ennemi principal d'un savoir qui, par définition,doit l'exclure. Il est inutile de croire ce qu'on ne peut pas connaître Certaines choses excèdent nos pouvoirs de connaissance. C'est le cas de l'existence de Dieu ou de la mort. Les hommes ont peur de la mort. Mais queredoutent-ils en elle ? C'est précisément le saut dans l'absolument inconnu. Ils ne savent pas ce qui lesattend et craignent confusément que des souffrances terribles ne leur soient infligées, peut-être en punitionde leurs actes terrestres. Les chrétiens, par exemple, imagineront que quiconque à mal agi et n'a pas obtenule pardon de Dieu ira rôtir dans les flammes de l'enfer. La peur de la mort a partie liée avec les superstitionsreligieuses dont la métaphysique matérialistes nous libère. De plus, si tout dans l'univers n'est fait que dematière, si nous, comme tous les êtres vivants, ne sommes que des agrégats d'atomes, lorsque nous mourons,ce ne sont que nos atomes qui se séparent, qui se désagrègent, ce n'est que notre corps qui se décompose,en un point d'abord celui qui est blessé ou malade, puis en tous. Dès lors, rien de notre être ne survit, il n'ya rien après la mort, la mort n'est rien pour nous ». Ceux qui pensent que la vie du corps, la pensée, lasensation, le mouvement viennent de l'âme, et que cette âme pourrait survivre après la mort du corps, onttort. Car l'âme elle-même est faite de matière, certes plus subtile, puisque invisible ; mais si elle n'est qu'unagrégat d'atomes, elle aussi se décompose lorsque la mort survient, et même, selon l'expérience la pluscommune, il faut penser qu'elle est la première à se décomposer puisque le mort apparaît immédiatement privéde vie, de sensation, de pensée et de mouvement, alors que le reste de son corps semble encore à peu prèsintact et mettra plus de temps à commencer à se décomposer. Aussi, la mort se caractérise bien en premierlieu par l'absence de sensation Habitue-toi à la pensée que le mort n'est rien pour nous, puisqu'il n'y a debien et de mal que dans la sensation, et que la mort est absence de sensation. » En effet, lessensations que nous avons de notre corps et, à travers lui, des choses du monde sont la source de touteconnaissance, et aussi de tout plaisir et de toute douleur, donc le vrai lieu de tout bien et de tout mal,puisque le bien réel n'est que le plaisir et le mal la douleur. Nous pouvons désigner la pensée d'Epicure comme. »
Rubrique Aide aux dissertations > Aides: Philo corrige 1 Philo corrige 2 Philo corrige 3. Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait? Croire et savoir Cf.: "Ils ne savent pas ce qu'ils font".
L'analyse du professeur Ce sujet est d’abord une contradiction manifeste entre les deux verbes. Il faut donc repérer les modalités de cette contradiction pour essayer de comprendre en quoi elle est contestable. En ce sens, il apparaît que le savoir est affaire de connaissance alors que la croyance est affaire de sentiment. Les deux sont opposés en ce qu’il désignent donc deux rapports différents à une idée. Mais on peut aussi considérer que leurs définitions ne sont pas si lointaines dans la mesure où le savoir peut être défini comme croyance mobilisant une preuve en supplément Cf. Sujet Faut-il opposer croyance et raison ». Dès lors, le savoir ne s’opposerait pas directement à la croyance mais en dépasserait la nature dogmatique pour parvenir à une forme d’assentiment rationnel. La différence entre croire et savoir se jouerait donc dans le statut de cette preuve supplémentaire. Cependant, à l’inverse, la croyance ne se fait jamais de façon purement arbitraire et semble mobiliser des motifs, c’est-à-dire reposer sur des idées et une forme de savoir qui la provoque. On ne croit pas n’importe quoi mais on croit toujours en fonction de raisons plus ou moins obscures. Bref, le savoir est problématique et risque de rejoindre la croyance si la preuve qu’il mobilise est fragile. À l’inverse, la croyance semble dépendre initialement d’une forme de savoir plus ou moins prouvé qui ne dépend pas du critère exclusif de la raison logique mais peut également s’appuyer sur des convictions sentimentales ou sur des préjugés qui ne sont pas nécessairement dogmatiques qui sont de l’ordre de l’intuition. ...
Croirepeut être une faiblesse si la croyance est irrationnelle. Des croyances peuvent être irrationnelles si, selon Hume, elles ne sont pas fondées sur des raisons ou ne reposent pas sur un raisonnement valide. Dans un raisonnement qui va du particulier au général par exemple. Logiquement, il n’est pas valide. Ce n’est pas parce qu
Par Publié le 28/10/2014 à 1630 La croyance est une notion difficile à cerner. Elle fait partie de ce que Bertrand Russel appelait les attitudes propositionnelles, au même titre que les désirs, les souhaits, les regrets. Pour certains, elle est une force capable de déplacer les montagnes. Pour d’autres, la béquille d’une humanité incapable de se tenir debout. Deux auteurs s’attaquent cet automne à cette aventureuse question. Henri Atlan, d’une part, dans un livre éblouissant intitulé modestement Croyances 1. Alexandre Lacroix, d’autre part, dans un livre scrupuleux au titre plus énigmatique Comment vivre lorsqu’on ne croit en rien ? 2. Nous évoquerons aujourd’hui celui-ci, et reviendrons prochainement sur le premier. Ce n’est pas un hasard si le dossier de la croyance remue les philosophes la croyance est humaine. Les animaux n’en savent pas assez, et les dieux en savent trop pour croire. Comme le remarquait Pascal, avec son humour tragique, le désespéré qui va se pendre croit encore à l’amélioration de son état. Et comme le pointait Husserl la thèse du monde est une croyance. Nous avons besoin de croire non pas au monde en général, mais en notre monde, ce monde-ci. Cela est plus difficile dans Alep en ruines que sur les bords du lac de Côme, mais cela ne change pas la donne sur le fond. Dans les deux cas, il faut se lever. Reste, que la thèse de Husserl se complique quand on se demande s’il est possible de croire en rien ? Avant d’aborder cette question qui est au cœur du livre d’Alexandre Lacroix, il faut clarifier un point, concernant la croyance religieuse. Sans pour autant entrer dans des discussions épineuses sur la croyance et la foi. Dans un ouvrage datant de 2007, Peut-on ne pas croire ?, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France à Paris, esprit frappeur, commentateur hors pair, fin lecteur de Wittgenstein 1889-1951, dénonçait avec vigueur la démission des intellectuels 3. Il critiquait leur pusillanimité envers la croyance religieuse et les religions. Il se révoltait contre les pèlerins et convertis de la dernière heure. Il fustigeait la posture héroïque des imprécateurs. Le thème n’était pas nouveau, mais il résonnait à point nommé dans le contexte actuel où la laïcité est malmenée et n’importe quelle forme de transcendance encensée. La liberté de ne pas croire est devenue suspecte. L’incroyant n’a plus droit de cité. Il n’est plus protégé comme il devrait l’être, sa liberté n’est plus assurée a priori ». Pourquoi le projet de juger et d'évaluer les croyances d'un point de vue rationnel est-il devenu aujourd'hui à ce point suspect ? Comment, après Spinoza, Bayle, Condorcet, Renouvier, notre époque a-t-elle accouché de tels sortilèges ? Bouveresse rappelait alors qu’il serait possible, et même nécessaire, de ne pas croire du tout penser, savoir, critiquer peut suffire à la tâche. La croyance est certes une donnée humaine universelle, mais elle n’est pas pour autant universellement acceptable. Cette mise au point faite, on peut passer au rien. La réflexion morale et philosophique d’Alexandre Lacroix ne part pas du tout des mêmes présupposés. Son livre n’est pas une attaque contre la pensée faible, le syncrétisme religieux, ni une mise en garde contre toutes les formes de crédulité. C’est un livre contre tous les chevaliers de l’absolu », les dogmatiques en herbe qui prétendent avoir résolu le problème de la justification de l’existence. C’est un livre qui prend simplement le scepticisme au sérieux. Dans son acceptation la plus classique. Tout en distinguant attitude théorique et attitude pratique, il insiste plutôt sur la seconde. Il rejette le dogmatisme, dans l’ordre de la connaissance ; il remet comme on dit la raison à sa place. Il professe une sorte de vitalisme critique, rejette le souverain bien, se refuse d’assigner un but au bonheur, se laisse guider par la vie. S’appuyant sur des exemples littéraires de choix – Nicolas Bouvier, Jean Genet -, il considère le ballet des apparences comme la seule réalité tangible. Dans une langue souple et aérée, l’auteur cherche une voie. Mais il n’indique pas le chemin à suivre. Reprenant à son compte le questionnement ouvert par les stoïciens et les sceptiques, il situe son propos en partant du constat de notre ignorance radicale », du caractère insondable des moments qui composent notre existence. Ce sont les stoïciens qui ont introduit la notion d’assentiment, elle est essentielle pour comprendre la croyance. Mais le même mot de croyance sert à désigner l’assentiment et ce sur quoi il porte. Dans la lignée de Sextus Empiricus, Lacroix précise donc sa pensée au sujet de ce qui constitue le nerf des querelles antiques la suspension de l’assentiment chère au stoïcisme, reprise différemment par Sextus Empiricus, dont la lecture fut déterminante dans sa trajectoire intellectuelle. Que dit-il ? Ceci La suspension de l’assentiment consiste en une méfiance à l’égard des multiples discours sur le réel, envers les théories, et non envers le réel lui-même dans ses diverses manifestations ». Il est possible en effet de douter d’une théorie, mais il est peu probable de ne pas consentir aux bienfaits de la douceur du miel ou de la beauté de la lumière méditerranéenne. Cette croyance limitée – fille de notre impulsion – constitue la morale de cet ouvrage qui se refuse à endosser la figure de l’éducateur. La critique que fait l’auteur de Foucault – au sujet des arts de l’existence – est sans concession. Non sans raison, il prend ses distances avec l’esthétique de l’existence et son volontarisme sous-jacent. On comprend mieux alors le point d’interrogation du titre. La question comment vivre n’étant pas vraiment une question, il convient – en gros – de prendre les choses comme elles viennent à Paris, Kiev, Alep, Dakar ? C’est une autre histoire. Celle que raconte Alexandre Lacroix a en tout cas de la tenue. 1 Editions Autrement. 18 euros. 2 Flammarion, 170 pages, 17 euros. 3 Jacques Bouveresse, Peut-on ne pas croire ?Sur la vérité, la croyance et la foi, Agone, 2007, 286 pages, 24 euros. Plus d'Agora Votre abonnement nous engage En vous abonnant, vous soutenez le projet de la rédaction de Marianne un journalisme libre, ni partisan, ni pactisant, toujours engagé ; un journalisme à la fois critique et force de proposition. Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne
Commentavoir 20/20 à la dissert du bac philo. Voici la méthode simple et les conseils de base pour réussir sa dissertation au bac de philosophie, avec à la clé une excellente note ! L "Parmi toutes les croyances dogmatiques, les plus désirables me semblent être les croyances dogmatiques en matière de religion cela se déduit très clairement, alors même qu'on ne veut faire attention qu'aux seuls intérêts de ce monde. Il n'y a presque point d'action humaine, quelque particulière qu'on la suppose, qui ne prenne naissance dans une idée très générale que les hommes ont conçue de Dieu, de ses rapports avec le genre humain, de la nature de leur âme et de leurs devoirs envers leurs semblables. L'on ne saurait faire que ces idées ne soient pas la source commune dont tout le reste découle. Les hommes ont donc un intérêt immense à se faire des idées bien arrêtées sur Dieu, leur âme, leurs devoirs généraux envers leur Créateur et leurs semblables ; car le doute sur ces premiers points livrerait toutes leurs actions au hasard et les condamnerait en quelque sorte au désordre et à l'impuissance. C'est donc la matière sur laquelle il est le plus important que chacun de nous ait des idées arrêtées, et malheureusement c'est aussi celle dans laquelle il est le plus difficile que chacun, livré à lui-même, et par le seul effort de sa raison, en vienne à arrêter ses idées. Il n'y a que des esprits très affranchis des préoccupations ordinaires de la vie, très pénétrants, très déliés, très exercés, qui, à l'aide de beaucoup de temps et de soins, puissent percer jusqu'à ces vérités si nécessaires. Encore voyons-nous que ces philosophes eux-mêmes sont presque toujours environnés d'incertitudes, qu'à chaque pas la lumière naturelle qui les éclaire s'obscurcit et menace de s'éteindre, et que, malgré tous leurs efforts, ils n'ont encore pu découvrir qu'un petit nombre de notions contradictoires, au milieu desquelles l'esprit humain flotte sans cesse depuis des milliers d'années, sans pouvoir saisir fermement la vérité ni même trouver de nouvelles erreurs. De pareilles études sont fort au-dessus de la capacité moyenne des hommes, et, quand même la plupart des hommes seraient capables de s'y livrer, il est évident qu'ils n'en auraient pas le loisir. Des idées arrêtées sur Dieu et la nature humaine sont indispensables à la pratique journalière de leur vie, et cette pratique les empêche de pouvoir les acquérir. Cela me paraît unique. Parmi les sciences, il en est qui, utiles à la foule, sont à sa portée ; d'autres ne sont abordables qu'à peu de personnes et ne sont point cultivées par la majorité, qui n'a besoin que de leurs applications les plus éloignées ; mais la pratique journalière de celle-ci est indispensable à tous, bien que son étude soit inaccessible au plus grand nombre. Les idées générales relatives à Dieu et à la nature humaine sont donc, parmi toutes les idées, celles qu'il convient le mieux de soustraire à l'action habituelle de la raison individuelle, et pour laquelle il y a le plus à gagner et le moins à perdre en reconnaissant une autorité. Le premier objet, et l'un des principaux avantages des religions, est de fournir sur chacune de ces questions primordiales une solution nette, précise, intelligible pour la foule et très durable. Il y a des religions très fausses et très absurdes ; cependant l'on peut dire que toute religion qui reste dans le cercle que je viens d'indiquer et qui ne prétend pas en sortir, ainsi que plusieurs l'ont tenté, pour aller arrêter de tous côtés le libre essor de l'esprit humain, impose un joug salutaire à l'intelligence ; et il faut reconnaître que, si elle ne sauve point les hommes dans l'autre monde, elle est du moins très utile à leur bonheur et à leur grandeur dans celui-ci. Cela est surtout vrai des hommes qui vivent dans les pays libres. Quand la religion est détruite chez un peuple, le doute s'empare des portions les plus hautes de l'intelligence et il paralyse à moitié toutes les autres. Chacun s'habitue à n'avoir que des notions confuses et changeantes sur les matières qui intéressent le plus ses semblables et lui-même ; on défend mal ses opinions ou on les abandonne, et, comme on désespère de pouvoir, à soi seul, résoudre les plus grands problèmes que la destinée humaine présente, on se réduit lâchement à n'y point songer. Un tel état ne peut manquer d'énerver les âmes ; il détend les ressorts de la volonté et il prépare les citoyens à la servitude. Non seulement il arrive alors que ceux-ci laissent prendre leur liberté, mais souvent ils la livrent. Lorsqu'il n'existe plus d'autorité en matière de religion, non plus qu'en matière politique, les hommes s'effrayent bientôt à l'aspect de cette indépendance sans limites. Cette perpétuelle agitation de toutes choses les inquiète et les fatigue. Comme tout remue dans le monde des intelligences, ils veulent, du moins, que tout soit ferme et stable dans l'ordre matériel, et, ne pouvant plus reprendre leurs anciennes croyances, ils se donnent un maître. Pour moi, je doute que l'homme puisse jamais supporter à la fois une complète indépendance religieuse et une entière liberté politique ; et je suis porté à penser que, s'il n'a pas de foi, il faut qu'il serve, et, s'il est libre, qu'il croie." Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, II, 1840, 1ère partie, Chapitre V, GF, 1981, p. 29-31. Retour au menu sur la religion Retour au menu sur la liberté Date de création 26/04/2016 1541 Dernière modification 26/04/2016 1541 Catégorie Page lue 3419 fois Imprimer l'article 3 Oui dans une certaine mesure. On ne peut pas dire qu'on n'a pas subit l'influence de la pensée d'autrui sauf si on s'appelle Mowgli et qu'on a été élevé parmi les loups. On s'approprie la pensée exprimée par d'autres partiellement ou dans sa globalité ou on la rejette. En psychanalyse, on appelle ça le processus d'identification (ou 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 8vWe6GwDcCcZxPoTxj80TnLSB9S_1J58rUUQDaSVj4dmn0l6vbX0yg== Lavérité ne peut résulter que de l'examen critique des opinions: en effet, il importe au plus haut point au philosophe comme au savant de ne pas confondre ce qui est vrai de ce qu'il croit vrai. Or, il est difficile d'éviter cette confusion dans la mesure où le vraisemblable est parfois un faux ressemblant au vrai, comme un faux billet qui présente tous les signes extérieurs d'un vrai Bonjour à tous. J'ai besoin de votre aide.. J'ai une dissertation de philo à faire. Il faut faire thèse-anti thèse mais je ne trouve pas d'arguments pour "Oui on ne peut croire en rien". Help please = On peut vivre au jour le jour et ne pas s'interroger sur le sens des choses, du sens de la vie, simplement vivre en fonction de comment la vie se présente à nous. Autrement, grâce à la science, il devient possible de ne plus croire, on peut se limiter à savoir, douter, et faire des hypothèses. Renseignes toi sur le nihilisme Oui, possible. Ça s'appelle du nihilisme, comme l'a dit VinceOn. Mais le nihilisme n'est-il pas une croyance en quelque sorte, justement? Et bien, si on considère que ne croire en rien est une croyance ... Mais le nihilisme ce n'est ABSOLUMENT PAS ne croire en rien, au contraire c'est se persuader que tout est faux. On peut ne croire en rien, sans être nihiliste. Croire en rien, ça revient à douter de tout. Et si l'on doute, on voudra être certain être persuader de quelque chose par des preuves concrètes, c'est différent de croire. Et pour être certain, on sera forcement amené à une réflexion pour expliquer ce doute et le faire disparaitre, jusqu'à ce qu'il n'y est plus de place pour celui-ci. Ainsi, "ne croire en rien" pousserait à la réflexion de toute chose jusqu'à en déterminer la cause la plus profonde. Mais pourquoi donc faire thèse anti-thèse? La philo ne consiste pas à faire des raisonnements de skyzo D'ailleurs c'est très mal perçu par les prof au bac de dire une chose puis son contraire et faire le petit mixte des deux en troisième partie [GentleGiant] Voir le profil de [GentleGiant] Posté le 12 novembre 2011 à 164217 Avertir un administrateur Mais pourquoi donc faire thèse anti-thèse? La philo ne consiste pas à faire des raisonnements de skyzo D'ailleurs c'est très mal perçu par les prof au bac de dire une chose puis son contraire et faire le petit mixte des deux en troisième partie Mais la société est schyzo, nan ? Certains croient en rien alors que d'autres trouvent cela absurde. Le but n'est-il pas d'expliquer les raisons des deux parties pour laisser au lecteur le choix de son opinion ? Par le terme "croire" il faut peut-être sous-entendre "foi en qqch" ? Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire à quelque chose! "Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire à quelque chose!" Et non ! Là, c'est toi qui crois que je crois en ce qu'un nihiliste aurait dit. Je suis nihiliste, je ne crois en rien, mais je ne vois pas en quoi je crois en ce que j'ai dit. Je pense que rien n'existe, mais je ne le crois pas, par nihilisme, justement. Un nihiliste n'est pas du genre à avoir foi en ses pensées. C'est là toute la différence. Les gens croient que le nihiliste n'exclut pas ses propres pensées de la non-croyance. Ce n'est pas le cas. Le nihiliste ne croit en rien, y compris le fait que rien n'existe. C'est une opinion personnelle, rien de plus. Et avant de contredire ça, il faudrait être nihiliste, l'avoir été, ou avoir discuté avec un ou des nihilistes sans avoir porté de jugement a priori, juste au cas où. Oui c'est tout à fait possible et j'en ai la preuve Les trolls sont partout... OMG... -_- Le 16 novembre 2011 à 081946 Yagaku a écrit "Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire à quelque chose!" Et non ! Là, c'est toi qui crois que je crois en ce qu'un nihiliste aurait dit. Je suis nihiliste, je ne crois en rien, mais je ne vois pas en quoi je crois en ce que j'ai dit. Je pense que rien n'existe, mais je ne le crois pas, par nihilisme, justement. Un nihiliste n'est pas du genre à avoir foi en ses pensées. C'est là toute la différence. Les gens croient que le nihiliste n'exclut pas ses propres pensées de la non-croyance. Ce n'est pas le cas. Le nihiliste ne croit en rien, y compris le fait que rien n'existe. C'est une opinion personnelle, rien de plus. Et avant de contredire ça, il faudrait être nihiliste, l'avoir été, ou avoir discuté avec un ou des nihilistes sans avoir porté de jugement a priori, juste au cas croire en rien, c’est un état de doute permanent. Or celui qui doute en affirmant qu’il n’y a pas de certitude se contredit, car s’il y a bien une chose qui existe c’est le doute. Il y a toujours des postulats de base auxquels on est obligés de croire. Encore que les plus sceptiques et les moins prudents préférerons encore tenter l'expérience pour en juger. Exemple Il est impossible de ne pas croire à la nécessité de se nourrir pour survivre. Ou bien il est impossible de ne pas croire en l'existence de son environnement sans y laisser sa supposant même que les plus téméraires tentent l'expérience, des millénaires de sélection naturelle n'auront-elles pas rendu même ces hommes les plus fous incapables de se maintenir volontairement dans les douleurs qui précèdent la réponse. Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
Jene crois pas. Croire en Dieu , au sens le plus fort, revient précisément à entretenir avec le mystère de l’existence un rapport non rationnel, à la fois déraisonnable et

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Une critique philosophique de la religion Commentaires disponibles Le langage Liste des sujets traités Peut-on parler pour ne rien dire ? En quoi le langage est-il nécessaire à l’homme ? Les paroles engagent-elles autant que les actes ? Serait-il souhaitable que l’humanité parle une seule langue ? Quiconque n’a pas réfléchi sur le langage n’a pas vraiment commencé à philosopher Le langage exprime-t-il notre être ? Commentaires disponibles Le travail et la technique Liste des sujets traités L’homme doit-il travailler pour être humain ? Le travail rend-il l’homme heureux ? Faut-il séparer la science de la technique ? Le travail et la technique sont ils des moyens de civilisations ou de barbarie ? L'art nous est-il plus nécessaire que la technique ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prévention sans répression ? L'art Liste des sujets traités L’art nous détourne-t-il de la réalité ? L’art ne sert-il à rien ? L’art ne s’adresse-t-il qu’à la sensibilité ? Quelle est la raison d’être des artistes ? L’art est-il explicable ? L’art nous détourne-t-il du réel ? Pour avoir du goût, faut-il être cultivé ? L’art est-il une illusion ? L’art, est-ce ce qui ne sert à rien ? Pensez-vous que la société moderne favorise la création artistique ? Quelles sont les règles de l’art ? L'art nous est-il plus nécessaire que la technique ? N'y a t il d'art que dans les musées ? L'art est il une évasion ? Commentaires disponibles L'histoire Liste des sujets traités Y a-t-il une vérité en histoire ? L’histoire nous enseigne-t-elle la relativité de valeurs ? L’histoire a-t-elle un sens ? L’homme peut-il se libérer de l’histoire ? Que nous apprend l’histoire ? Qu'est ce qu'un événement ? Le plaisir est il le moteur de l'histoire ? Devons-nous mémoire ou oubli ? Commentaires disponibles La moraleLa liberté Liste des sujets traités Faut-il opposer liberté morale et liberté politique ? Peut-on renoncer à sa liberté ? Peut-on apprendre à être libre ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la liberté ? L’expression perdre sa liberté a-t-elle un sens ? En quoi peut-on dire que l’homme est libre ? Être libre de penser est-ce penser ce que l’on veut ? Le doute est-il une entrave à la liberté ? Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Comment définir la liberté ? Commentaires disponibles Le devoir Liste des sujets traités La conscience morale n’est-elle que le résultat de l’éducation ? La détermination du bien n’est-elle qu’une affaire d’opinion ? Peut-on connaître la morale ? Est-il immoral de mépriser autrui ? Suffit-il de voir le meilleur pour le suivre ? Puis-je savoir si je suis immoral ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? Devons-nous mémoire ou oubli ? Commentaires disponibles Le bonheur Liste des sujets traités Plaisir et bonheur Faites vous plaisir ! Le bonheur n’est-il qu’une question de chance ? Le bonheur n’est-il pour l’homme qu’un idéal ? La conscience de soi peut-elle rendre l’homme malheureux ? Annales 2017 - Pour trouver le bonheur, faut-il le rechercher ? Commentaires disponibles La politiqueL'Etat Liste des sujets traités L’État peut-il être juste ? Sur quoi la légitimité de l’État se fonde-t-elle ? L’État vise-t-il le bonheur des individus ? Peut-on concevoir une société sans État ? L’Etat doit-il reconnaitre des limites à sa puissance ? e rôle du gouvernement est-il seulement de garantir la liberté ? Le pouvoir doit-il revenir au peuple ? Commentaires disponibles La justice et le droit Liste des sujets traités La compétence donne-t-elle des droits ? Les lois prennent-elles en compte les croyances des individus ? Fonder le droit sur la force ou faire respecter le droit par la force, cela revient-il au même ? Le droit se fonde-t-il sur l’intérêt privé ? Est-il juste d’appliquer systématiquement la loi ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la liberté ? Sur quoi la justice se fonde-t-elle ? La démocratie est-elle la garantie de lois justes ? Peut-on dire d’un homme qu’il est juste ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prévention sans répression ? Vaut-il mieux subir l’injustice ou la commettre ? Les peines qu'inflige une société servent-elles une simple vengeance ? Hugo Grotius, De jure belli ac pacis Commentaires disponibles La société Liste des sujets traités La paix sociale est-elle souhaitable ? Une société n’est-elle qu’un ensemble d’individus vivant sur un même territoire ? Doit-on apprendre à devenir homme ? L’homme est-il un animal politique ? Une société peut-elle renier sa culture ? L’action politique est-elle un travail ? L’homme est-il réductible à sa culture ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? 'La ville est politique' - commentaire La médiation est-elle particulièrement importante dans notre société contemporaine ? Y a-t-il des sociétés plus naturelles que d’autres ? Hugo Grotius, De jure belli ac pacis Le pouvoir doit-il revenir au peuple ? Commentaires disponibles La raison et le réelLa matière et l'esprit Liste des sujets traités Est-il raisonnable de croire en Dieu ? Peut-on croire sans savoir ? Faut-il opposer la croyance et la raison ? Peut-on accorder une valeur à une croyance que l’on ne partage pas ? L’esprit a-t-il accès aux choses ? Vaut-il mieux agir ou penser ? Quelle différence peut-on faire entre la matière et le corps ? Toute passion est-elle déraisonnable ? Que faut-il opposer à la bêtise ? Qu’est-ce qui est premier ? Le Dieu de Kant est-il si différent du Dieu de la métaphysique traditionnelle ? Peut-on connaître l'esprit à travers le corps ? En quoi l’homme fait-il l’espace ? Descartes, Méditations métaphysiques, sixième méditation Commentaires disponibles La vérité Liste des sujets traités Ce qui est flagrant est-il vrai ? Les préjugés détournent-ils toujours du vrai ? Peut-on se délivrer de ses préjugés ? Comment passe-t-on de l’opinion à la connaissance ? Peut-on vraiment être convaincu sans être persuadé ? Dans quelle mesure la méthode peut elle servir de garant de la vérité ? L’objectivité implique-t-elle la neutralité ? Suffit-il, pour être philosophe, de rejeter les opinions ? N’y a-t-il aucune vérité dans le mensonge ? Peut-on dire que les hommes aiment tellement la vérité qu’ils voudraient que ce qu’ils aiment soit vrai ? S’en tenir aux faits, est-ce une garantie d’objectivité ? Faut-il croire la raison ? La science répond elle à un désir de la vérité ? Peut-on démontrer n'importe quoi ? L’opinion est-elle condamnable ? Qu’est-ce que la métaphysique ? Faut-il toujours se contredire ? Commentaires disponibles Le vivant Liste des sujets traités La nature a-t-elle des droits ? La nature fait-elle bien les choses ? Peut-on éviter l’anthropomorphisme ? Ce qui est naturel a-t-il nécessairement de la valeur ? L'interprétation Liste des sujets traités L’interprétation est-elle nécessaire à l’homme ? Nietzsche - Il n'y a pas de faits en soi. Ce qui arrive est un groupe de phénomènes choisis et groupés par un être qui les interprète Théorie et expérience Liste des sujets traités Peut-on penser contre l’expérience ? La science nous apprend-elle ce qu’est le réel ? Devons-nous distinguer deux mondes le monde commun et le monde de la science ? L’homme a-t-il raison de se méfier de la science ? La science fait-elle disparaître les croyances ? La philosophie, est-ce des paroles en l’air ? À quoi sert la philosophie ? La philosophie peut-elle être utile ? Qu’est-ce qui est premier ? Commentaires disponibles Le sujetAutrui Liste des sujets traités Peut-on se fier à l’autorité d’autrui sans tomber dans le préjugé ? Changer, est-ce devenir quelqu’un d’autre ? Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? Autrui est-il mon prochain ? L’homme est-il naturellement bienveillant à l’égard d’autrui ? Une action désintéressée est-elle possible ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? Le corps soutient-il la relation à autrui ? Sans l'autre, je ne suis rien, je n'existe pas, autrui me constitue comme il peut me détruire Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La conscience et l'inconscient Liste des sujets traités La conscience fait-elle de l’homme une exception ? Que peut-on reprocher à celui qui est inconscient ? Avons-nous conscience de notre corps ? La conscience de soi est-elle une connaissance de soi ? La conscience est elle ce qui définit l’homme ? L’idée d’inconscient exclut-elle celle de liberté ? Un sentiment est-il plus difficile à décrire qu'un objet ? Le corps est-il sujet ou objet de ma conscience ? Dans quelle mesure peut-on parler d’une révolution freudienne ? La conscience de soi peut-elle rendre l’homme malheureux ? L'hypothèse de l'inconscient fait-elle mieux comprendre la conscience ? La conscience peut-elle nous tromper ? Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La perception Liste des sujets traités Les apparences sont-elles trompeuses ? Un sentiment est-il plus difficile à décrire qu'un objet ? En quoi l’homme fait-il l’espace ? Commentaires disponibles Le désir Liste des sujets traités Pourquoi désirer ce qui n’est pas nécessaire ? Le désir suppose-t-il la connaissance préalable de son objet ? Est-on fondé à distinguer les bons des mauvais désirs ? Faut-il libérer ses désirs ou se libérer de ses désirs ? Le désir est-il la marque de la misère de l’homme ? Supprimer le naturel, est-ce le but de l’éducation ? Peut-on concilier raison et désir ? Nietzsche, Tout ce qu'on appelle amour Le désir humain peut-il être satisfait ? Commentaires disponibles L'existence et le temps Liste des sujets traités Exister, est-ce profiter de l’instant présent ? Le temps est-il la limite de l’homme ? Dans quelle mesure la conscience intime du temps nous permet-elle d’assigner un sens à notre existence ? L’homme doit-il se résigner à mourir ? Que nous apprend la mort ? Exister, est-ce agir ? Quel sens la mort donne-t-elle à notre vie ? Tout a-t-il une raison d'être ? Faut-il vivre comme si nous ne devions jamais mourir ? Commentaires disponibles

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